« Puisque de Dieu, nous ne savons pas ce qu’il est mais seulement ce qu’il n’est pas, nous ne pouvons pas nous demander comment il est, mais plutôt comment il n’est pas ». C’est ainsi que s’exprimait saint Thomas d’Aquin. Né en 1225 à Roccasecca, dans la province de Frosinone, il appartenait à l’une des plus importantes familles italiennes. Étant le dernier né, il était destiné à une carrière ecclésiastique et, à l’âge de cinq ans, il entra à Montecassino parmi les « pueri oblati ». A quinze ans, il alla à l’université de Naples, où il étudia la philosophie aristotélicienne, la grammaire, les sciences naturelles, la science arabe et la philosophie grecque.
« Nous avons perdu le chemin de la paix. Nous avons oublié la leçon des tragédies du siècle passé, le sacrifice de millions de morts des guerres mondiales. Nous avons enfreint les engagements pris en tant que Communauté des Nations et nous sommes en train de trahir les rêves de paix des peuples et les espérances des jeunes.
On ne dispose d’aucune information certaine sur la vie d’Émile. La tradition le situe comme ayant vécu au Ier siècle et le présente comme Évêque de Cagliari.
Saint Émile, célébré aujourd’hui, pourrait être l’un des quatre martyrs sardes qui, avec Félix, Priam et Félicien, sont commémorés dans le Martyrologe hiéronymien. En Sardaigne, il est vénéré dans divers lieux, notamment à Sestu.
Les deux Apôtres Simon et Jude Thaddée sont commémorés le même jour. Il est possible que cela soit dû à leur apostolat commun en Mésopotamie et en Perse, où ils allèrent annoncer l’Évangile. Nous ne disposons pas de beaucoup d’informations certaines à leur sujet et ce que nous savons se trouve dans le Nouveau Testament.
Une femme qui s’est consumée d’amour pour l’Église, qui a dépensé toutes ses énergies pour ses membres, à commencer par le Successeur de Pierre, les Évêques, les prêtres, jusqu’aux personnes consacrées et aux laïcs. Il s’agit de Catherine de Sienne, proclamée Docteur de l’Église par Paul VI en 1970, la deuxième femme après Sainte Thérèse d’Ávila, à recevoir ce titre.
La fête de la Sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph, est célébrée le dimanche suivant Noël. La raison en est simple : alors qu’à Noël, nous contemplons la naissance du Fils de Dieu à Bethléem, entouré de Marie et de Joseph, l’Église célèbre aujourd’hui la vie quotidienne de la famille à Nazareth.
Nous ne savons pas grand-chose de la période qui s’est écoulée entre la naissance de Jésus et le début de sa vie publique. Les Évangiles sont peu diserts à ce sujet. Ils racontent seulement qu’il a grandi en âge, en sagesse et en grâce, mais ne disent pas grand-chose de sa vie quotidienne avec ses parents. Il a probablement appris le métier de charpentier auprès de son père. Puis, à l’âge de douze ans, il se perdit à Jérusalem et fut retrouvé au bout de trois jours par Marie et Joseph parmi les prêtres du Temple.
Contemplatifs de la gloire de Dieu et messagers de la Bonne Nouvelle. Ce sont les trois Archanges qui sont fêtés le 29 septembre. Leurs noms expriment leur mission, pas leur nature. Ils sont les messagers du Seigneur, qui annoncent sa volonté et « constituent, avec les saints, l'immense multitude des adorateurs du Dieu vivant ».
Le « saint Paul des Indes », Patron des missions, grand évangélisateur de l’Asie, l’un des premiers à suivre Saint Ignace de Loyola, est Francisco de Jassu y Xavier, connu sous le nom de François Xavier.
Il naquit en 1506 au château de Xavier, près de Pampelune, dans une famille noble. En septembre 1525, il se rendit à Paris pour étudier au collège Sainte-Barbe, où il eut pour compagnon de chambre Pierre Favre, le premier prêtre de la Compagnie, auquel s’ajouta Ignace de Loyola. Au début, les relations entre François et Ignace furent conflictuelles, car François voulait poursuivre une carrière académique, à tel point que Loyola le décrivit comme « le morceau de pâte le plus dur que j’aie jamais eu à pétrir ». En 1530, il devint Magister Artium et obtint un poste de professeur au collège de Dormans-Beauvais.
On ne sait pas grand-chose de saint Blaise de Sébaste. Ce que nous savons, nous le tenons des Actes de saint Blaise, rédigés en grec. Blaise avait étudié la philosophie dans sa jeunesse, il était médecin à Sébaste en Arménie, sa ville natale, et était très estimé. Lorsque l’Évêque de la ville mourut, il fut élu par acclamation par tout le peuple pour lui succéder.
Thomas, appelé aussi Didyme (ce qui signifie « Jumeau »), faisait partie du petit groupe de disciples choisis par Jésus dès le début de sa mission publique. Il était l’un des Douze Apôtres, comme le souligne l’évangéliste Jean. Ce même Jean rapporte plusieurs épisodes qui aident à mieux comprendre la personnalité de Thomas.
Les apôtres Philippe et Jacques le Mineur sont commémorés le même jour,
car leurs reliques furent déposées ensemble dans la Basilique des Saints XII Apôtres à Rome.
Nous savons bien peu de choses de Jacques, fils d’Alphée, appelé « le Mineur » parce qu’il était de plus petite taille que Jacques, fils de Zébédée et frère de Jean l’Évangéliste. Ce qui est certain, c’est qu’il fut l’un des premiers disciples de Jésus.
Frère dominicain, grand ascète, promoteur de la Contre-Réforme, il publia le Catéchisme et promulgua le Bréviaire et le Missel romain, qui portent son nom, tout en appliquant les décrets du Concile de Trente. Il s’agit de Pie V, né Antonio Ghislieri, élu Pape en 1566.
Une femme « forte » qui, suivant l’impulsion de l’Esprit, obéit à la voix du Seigneur l’invitant à libérer son peuple et à redonner confiance en Lui à ceux qui étaient dans la désolation. Laïque, consacrée dans la virginité mais hors des murs d’un cloître, Jeanne d’Arc fut engagée dans les conflits les plus dramatiques de l’Église et de la société de son temps. Elle mourut tragiquement, condamnée comme hérétique à l’issue d’un procès truqué, à visée purement politique, dont l’issue était fixée d’avance : la mort sur le bûcher, sur la place du Vieux-Marché à Rouen.
Les Évangiles présentent André, frère de Simon Pierre, comme l’un des deux disciples de Jean le Baptiste qui suivirent Jésus dès le début (Jn 1, 35-39). Il naquit à Bethsaïde en Galilée, sur les rives du lac de Tibériade. Comme son frère Simon (Pierre), il était pêcheur. Sans sa quête de de Dieu, il avait été disciple du prédicateur Jean le Baptiste, qui l’avait certainement baptisé. Lorsque Jean-Baptiste désigna Jésus comme « l’Agneau de Dieu » (Jn 1, 29-40), sur les rives du Jourdain, il suivit immédiatement le Maître et ne le quitta plus jamais.
« Le trait particulier de la figure spirituelle de saint Jérôme demeure certainement son amour passionné pour la Parole de Dieu transmise à l’Église dans la Sainte Écriture. Si tous les Docteurs de l’Église – et en particulier ceux de la première époque chrétienne – ont puisé explicitement dans la Bible les contenus de leurs enseignements, Jérôme l’a fait de façon plus systématique et, pour certains aspects, unique ». C'est ce qu'affirme le Pape François dans sa Lettre apostolique Scripturae Sacrae affectus du 30 septembre 2020, à l'occasion du XVIe centenaire de la mort de saint Jérôme
« N’oubliez jamais ces trois choses : la dévotion au Très Saint Sacrement, la dévotion à Marie Auxiliatrice et la dévotion au Saint Père ! » C’est ce que disait Don Jean Bosco à ses compagnons pendant la dernière période de sa vie.
Giovanni Melchiorre Bosco naquit le 16 août 1815 aux Becchi, à Castelnuovo d’Asti, dans une famille rurale pauvre et humble. Ses parents étaient Francesco Bosco et Margherita Occhiena, et ses deux frères Giuseppe et Antonio.
On ne sait pas grand-chose de sainte Balbine qui repose dans la basilique romaine du même nom, construite en son honneur au IVe siècle sur le Petit-Aventin, dans le quartier de San Saba à Rome. Selon la Passio Alexandri (VIe siècle) et la Passio Balbiniae et Hermetis, Balbina était la fille du tribun Quirinus.
Il est le dernier des Pères latins de l’Église et il eut le mérite de guider la société de la péninsule ibérique, qui était un centre de culture et d’apprentissage, en essayant d’unifier les habitants catholiques romains avec les Goths ariens.
Le mercredi de la Semaine Sainte 1301, alors qu’elle méditait sur la mort du Fils de Dieu, elle entendit en elle ces mots : « Ce n’est pas pour rire que je t’ai aimée ». C’est cette phrase qui, plus que toute autre, caractérise Sainte Angèle de Foligno, la mystique franciscaine que le Pape François a canonisée par équipollence le 9 octobre 2013.
Isabelle d’Aragon, reine du Portugal, s’est distinguée par son engagement en faveur de la paix entre les souverains et par sa générosité envers les pauvres. Après la mort de son mari, le roi Denis, elle décida de consacrer sa vie à Dieu en rejoignant le Tiers-Ordre de Sainte-Claire, au couvent de Coïmbre qu’elle avait elle-même fondé.
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