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  • 4 NOVEMBRE : SAINT CHARLES BORROMÉE

    Les âmes se gagnent à genoux

    Issu d’une noble famille, il fut nommé abbé commendataire dès l’âge de douze ans, et cardinal à vingt-deux ans, étant promis à une carrière ecclésiastique rapide et brillante. Neveu d’un Pape, il devint un pasteur formidable, un prédicateur zélé, fervent dans la mise en œuvre des réformes du Concile de Trente. Il s’agit de saint Charles Borromée qui n’épargna ni la fatigue ni les épreuves pour réformer l’Eglise, tant dans le clergé que parmi les religieux, la libérant également des influences extérieures qui menaçaient son intégrité. À cause de ce zèle, il dut affronter les calomnies, les humiliations et même un attentat. On lui tira en effet un coup d’arquebuse alors qu’il était tourné de dos en prière, mais il ne fut pas blessé.

  • 4 octobre : Saint François d'Assise, Patron de l'Italie

    De la richesse à la pauvreté pour l'amour du Christ

    Un jour, alors de le jeune François se promenait à cheval dans la campagne d'Assise, il rencontra un lépreux sur son chemin. Normalement, il était terrifié par les lépreux, il ne s'approchait pas de leurs maisons et refusait de les regarder. S'il en rencontrait un dans la rue, il détournait la tête et se bouchait le nez avec ses doigts pour ne pas sentir la mauvaise odeur qu'ils dégageaient. Mais ce jour-là, ce ne fut pas un jour quelconque. Il descendit de son cheval et donna au lépreux une pièce d'argent en lui embrassant la main. Puis il poursuivit sa route. Quelques jours plus tard, avec de l'argent en poche, il alla rendre visite aux lépreux de l'hospice. Il les réunit et commença à distribuer l'aumône, en embrassant la main de chacun. Il s'était vaincu lui-même et, à partir de ce moment-là, il n'eut plus peur des lépreux et les servit humblement.

  • 5 avril : Saint Vincent Ferrer

    L’ange de l’Apocalypse

    Il fut appelé l’ange de l’Apocalypse à cause de ses sermons enflammés sur les réalités ultimes et le destin éternel qui attend l’humanité. Il appelait ses contemporains à être cohérents dans leur vie avec la foi qu’ils professaient et proclamait l’Évangile avec vigueur et courage, sans craindre les puissants de son temps. Il s’agit de saint Vincent Ferrer, né le 23 janvier 1350 à Valence, en Espagne, dans la famille de don Guillermo Ferrer et de doña Constance Miguel.
    Dès son plus jeune âge, il fut attiré par les choses de Dieu et par la prière. Après avoir brillamment terminé ses études, il décida d’entrer dans l’Ordre dominicain le 6 février 1368. Il approfondit ensuite ses études à Barcelone, Llerida et Toulouse et, à partir de 1385, enseigna la théologie à Valence.

  • 5 janvier : SAINT JOHN NEWMANN, ÉVÊQUE DE PHILADELPHIE

    Le premier Évêque américain à être canonisé

    Premier Evêque américain à être canonisé, John Newmann est surtout connu pour ses activités pastorales et éducatives. Lorsqu’il était Évêque de Philadelphie, il fonda le premier système scolaire diocésain catholique des États-Unis d’Amérique.

  • 5 juillet: Saint Antoine-Marie Zaccaria

    Le Fondateur des Barnabites

    « Il est propre aux grands cœurs de se mettre au service des autres sans attendre de récompense » : c’est ainsi que s’exprimait souvent saint Antoine-Marie Zaccaria.

    Il naquit à Crémone en 1502 dans une famille noble. Devenu orphelin de père très jeune, il fut élevé avec une grande dévotion par sa mère, encore très jeune elle aussi.

  • 5 juin : Saint Boniface, évêque et martyr

    L’Apôtre des Germains

    Connu comme l’Apôtre des Germains, il est considéré comme l’un des plus importants missionnaires anglo-saxons et celui qui a établi de manière durable le christianisme dans les terres germaniques.

  • 5 mai : Saint Nunzio Sulprizio

    Une existence tragique et pauvre illuminée par l’amour du Crucifié 

    Tout ce que le monde considère comme un malheur et un échec se retrouve dans la vie de ce jeune homme mort à seulement 19 ans. Orphelin, pauvre, exploité dans son travail, malade chronique, discriminé, il trouva son accomplissement en suivant le Christ crucifié. Il s’agit de Nunzio Sulprizio, qui découvrit dans l’amour de Dieu le sens de sa vie. Une existence misérable d’un point de vue humain, mais riche en sainteté.

  • 5 SEPTEMBRE : SAINTE THÉRÈSE DE CALCUTTA

    Le petit crayon de Dieu

    « Dieu aime encore le monde et m’envoie toi et moi, pour que nous soyons son amour et sa compassion pour les pauvres » : c'est ce que sainte Mère Teresa de Calcutta avait l'habitude de répéter à ceux qu'elle rencontrait pour les engager dans la charité envers les plus démunis. Elle était convaincue qu'en servant les plus pauvres des pauvres, il ne fallait pas être un simple travailleur social, mais un frère qui va à la recherche d'autres frères. En effet, sa charité était animée par la foi, et non par une simple philanthropie. Pour elle, il était urgent de sortir les gens de la misère, mais il était encore plus important de leur transmettre le message que Dieu est Amour et que cet amour se traduit par une attention pour leur situation. Sa pensée à cet égard était  très claire :  « Dieu s'est identifié à l'affamé, à l'infirme, à celui qui est nu, au sans-abri ; à la faim non seulement de pain, mais aussi d'amour, d'attention, de considération de la part de quelqu'un ; au manque non seulement de vêtements, mais aussi de cette compassion que seuls quelques-uns ressentent pour ceux qu'ils ne connaissent pas ; aux sans-abri, non seulement parce qu'ils ne possèdent  pas d'abri de pierre, mais aussi parce qu'ils n'ont personne qu’ils puissent considérer comme proches ».

  • 6 décembre : Saint Nicolas de Bari

    Le saint œcuménique

    Nicolas de Myre, plus connu sous le nom de Nicolas de Bari, était un évêque né à Patara en Lycie (Turquie actuelle) vers 270. Il s’agit d’un saint commun à la plupart des Églises et des confessions chrétiennes, vénéré par l’Orient et l’Occident. Il est fêté le 6 décembre, jour de sa mort, et le 9 mai, en souvenir de la translation de ses reliques à Bari.

  • 6 juillet: Sainte Maria Goretti, vierge et martyre

    Elle promit le Paradis à son assassin

    Martyre pour la foi à l’âge de 12 ans, parce qu’elle voulait rester pure face aux avances répétées d’un jeune homme qui, finalement, aveuglé par la passion, la tua. Avant de mourir, cependant, Maria Goretti pardonna à son assassin et déclara qu’elle voulait l’avoir avec elle au Paradis.

  • 6 juin : Saint Norbert de Xanten, Évêque et Fondateur des Chanoines réguliers de Prémontré

    Annonciateur de l’Évangile par la parole et par l’exemple

    La conversion de saint Norbert de Xanten fut instantanée. Il avait environ 35 ans lorsqu’il fut désarçonné de son cheval et faillit mourir. À ce moment-là, il sentit en lui les paroles du psaume : « Éloigne-toi du mal et fais le bien » (Psaume 34, 15). Il interpréta cet événement comme un appel divin et décida de changer radicalement de vie. Il commença à mener une vie de pénitence, marchant pieds nus, portant des vêtements grossiers en laine et parcourant les villages pour prêcher.

  • 7 avril : Saint Jean-Baptiste de la Salle

    Le saint Patron des enseignants

    Dans la France du XVIIe siècle, l’école n’était plus en phase avec son temps. L’enseignement était fragmenté, éloigné de la réalité et des besoins d’une société en mutation. La culture restait réservée à une élite et l’enseignement primaire était encore basé sur la méthode individuelle. C’est alors qu’un jeune prêtre eut le courage de transformer l’école, en la faisant devenir un lieu de préparation à la vie, et non plus seulement un espace d’apprentissage de savoirs et de connaissances.

  • 7 février : Bienheureux Pie IX

    Le Pape du dogme de l’Immaculée Conception

    Élu à seulement 54 ans, Pie IX détient le record du plus long pontificat de l’histoire, qui est de 32 ans. Il dépasse les années de pontificat que la tradition attribue à saint Pierre.

  • 7 janvier : Saint Raymond de Penyafort

    Un juriste au service de l’évangélisation

    Cofondateur de l’Ordre des Mercédaires, Maître général des Dominicains, mais surtout célèbre expert en droit canonique. Il s’agit de Raymond de Penyafort. Né entre 1175 et 1185 à Villafranca del Panadés (Espagne), Raymond étudia à la cathédrale de Barcelone, où il enseigna ensuite la rhétorique et la logique.

  • 7 mai : Sainte Rosa Venerini

    Au service des femmes pour les éduquer et les émanciper 

    Elle comprit les difficultés et l’exclusion auxquelles les femmes de son époque étaient soumises, et elle n’épargna aucun effort pour les éduquer et leur enseigner les vérités de la foi. Elle était convaincue que pour accueillir l’Évangile, il fallait d’abord libérer les personnes de l’ignorance et de l’erreur. Outre l’éducation, elle croyait aussi que proposer une formation professionnelle pouvait favoriser la promotion humaine et l’affirmation des femmes dans la société. Rosa Venerini n’eut aucun doute lorsqu’elle consacra toute sa vie à l’apostolat et à l’éducation, à une époque — le XVIIe siècle — où tant de possibilités étaient refusées aux femmes.

  • 7 mars : Saintes Perpétue et Félicité martyres

    Deux mères unies dans le témoignage du Christ jusqu’au sacrifice de leur vie.

    Deux jeunes mères : l’une âgée de 22 ans et allaitant un bébé, l’autre enceinte de huit mois. Toutes les deux étaient des catéchumènes emprisonnées à Carthage, sous l’empereur Septime Sévère, en 203. Elles s’appelaient Perpétue et Félicité. Elles différaient par leur milieu social : jeune patricienne pour l’une, servante pour l’autre, mais elles étaient unies par leur foi dans le Christ et par le martyre. Elles furent arrêtées avec Saturus, leur catéchiste, et d’autres catéchumènes : Saturninus, Revocatus et Secondulus.

  • 7 octobre : Bienheureuse Vierge Marie du Rosaire

    Une couronne de roses pour résumer l'Évangile

    La fête du Rosaire a été instituée par saint Pie V sous le nom de « Sainte Marie de la Victoire », en souvenir perpétuel de la bataille de Lépante, qui eut lieu précisément le 7 octobre 1571 et au cours de laquelle la flotte de la Sainte Ligue battit celle de l'Empire ottoman. Les chrétiens attribuèrent cette victoire à la protection de Marie, qu'ils avaient invoquée en récitant le Rosaire avant la bataille.

  • 8 février : sainte Joséphine Bakhita

    D’esclave à « Madre moretta »

    Joséphine Bakhita était une enfant heureuse issue d’une famille animiste assez aisée vivant à Olgossa, dans la région du Darfour, au Soudan. En 1878, à l’âge de neuf ans, elle fut enlevée par des marchands d’esclaves. Sa vie se transforma immédiatement en cauchemar. Le choc fut si grand qu’elle ne se souvint même plus de son nom et que ses ravisseurs l’appelèrent « Bakhita » par moquerie, ce qui signifie « celle qui a de la chance ». 

  • 8 juillet : Bienheureux Eugène III, Pape

    Un disciple de saint Bernard

    « Dès que Pierre eut reconnu le Seigneur, il se jeta à l’eau et le rejoignit, tandis que les autres arrivèrent en barque. [Ce fait…] est un signe de l’autorité singulière de Pierre en tant que Pontife […]. [Pierre] reçut le gouvernement du monde entier, non d’un seul navire comme ce fut le cas des autres Apôtres.

  • 8 March: Saint John of God, Patron Saint of the Vatican Pharmacy

    “Extreme” charity

    Saint John of God’s name was Juan Ciudad. He was born in 1495 in Montemor-o-Novo, Portugal, where he spent his early years, before moving to Oropesa, Spain, when he was eight years old. He took part in two wars, one in Fuenterrabía in the Pyrenees and one in Vienna against the Turks. Following these events, he returned to Spain and embarked on a long spiritual journey that took him to various cities, including Seville, Ceuta, Gibraltar and Granada, where he worked as a book seller. After hearing a sermon by John of Avila, he underwent a profound spiritual transformation that led him to declare his “folly” for God, to the point that he was committed to the Royal Hospital of Granada. When he was discharged, he decided to dedicate himself entirely to serving the Lord.

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