« N’oubliez jamais ces trois choses : la dévotion au Très Saint Sacrement, la dévotion à Marie Auxiliatrice et la dévotion au Saint Père ! » C’est ce que disait Don Jean Bosco à ses compagnons pendant la dernière période de sa vie.
Giovanni Melchiorre Bosco naquit le 16 août 1815 aux Becchi, à Castelnuovo d’Asti, dans une famille rurale pauvre et humble. Ses parents étaient Francesco Bosco et Margherita Occhiena, et ses deux frères Giuseppe et Antonio.
On ne sait pas grand-chose de sainte Balbine qui repose dans la basilique romaine du même nom, construite en son honneur au IVe siècle sur le Petit-Aventin, dans le quartier de San Saba à Rome. Selon la Passio Alexandri (VIe siècle) et la Passio Balbiniae et Hermetis, Balbina était la fille du tribun Quirinus.
Il est le dernier des Pères latins de l’Église et il eut le mérite de guider la société de la péninsule ibérique, qui était un centre de culture et d’apprentissage, en essayant d’unifier les habitants catholiques romains avec les Goths ariens.
Le mercredi de la Semaine Sainte 1301, alors qu’elle méditait sur la mort du Fils de Dieu, elle entendit en elle ces mots : « Ce n’est pas pour rire que je t’ai aimée ». C’est cette phrase qui, plus que toute autre, caractérise Sainte Angèle de Foligno, la mystique franciscaine que le Pape François a canonisée par équipollence le 9 octobre 2013.
Issu d’une noble famille, il fut nommé abbé commendataire dès l’âge de douze ans, et cardinal à vingt-deux ans, étant promis à une carrière ecclésiastique rapide et brillante. Neveu d’un Pape, il devint un pasteur formidable, un prédicateur zélé, fervent dans la mise en œuvre des réformes du Concile de Trente. Il s’agit de saint Charles Borromée qui n’épargna ni la fatigue ni les épreuves pour réformer l’Eglise, tant dans le clergé que parmi les religieux, la libérant également des influences extérieures qui menaçaient son intégrité. À cause de ce zèle, il dut affronter les calomnies, les humiliations et même un attentat. On lui tira en effet un coup d’arquebuse alors qu’il était tourné de dos en prière, mais il ne fut pas blessé.
Un jour, alors de le jeune François se promenait à cheval dans la campagne d'Assise, il rencontra un lépreux sur son chemin. Normalement, il était terrifié par les lépreux, il ne s'approchait pas de leurs maisons et refusait de les regarder. S'il en rencontrait un dans la rue, il détournait la tête et se bouchait le nez avec ses doigts pour ne pas sentir la mauvaise odeur qu'ils dégageaient. Mais ce jour-là, ce ne fut pas un jour quelconque. Il descendit de son cheval et donna au lépreux une pièce d'argent en lui embrassant la main. Puis il poursuivit sa route. Quelques jours plus tard, avec de l'argent en poche, il alla rendre visite aux lépreux de l'hospice. Il les réunit et commença à distribuer l'aumône, en embrassant la main de chacun. Il s'était vaincu lui-même et, à partir de ce moment-là, il n'eut plus peur des lépreux et les servit humblement.
Il fut appelé l’ange de l’Apocalypse à cause de ses sermons enflammés sur les réalités ultimes et le destin éternel qui attend l’humanité. Il appelait ses contemporains à être cohérents dans leur vie avec la foi qu’ils professaient et proclamait l’Évangile avec vigueur et courage, sans craindre les puissants de son temps. Il s’agit de saint Vincent Ferrer, né le 23 janvier 1350 à Valence, en Espagne, dans la famille de don Guillermo Ferrer et de doña Constance Miguel.
Dès son plus jeune âge, il fut attiré par les choses de Dieu et par la prière. Après avoir brillamment terminé ses études, il décida d’entrer dans l’Ordre dominicain le 6 février 1368. Il approfondit ensuite ses études à Barcelone, Llerida et Toulouse et, à partir de 1385, enseigna la théologie à Valence.
Premier Evêque américain à être canonisé, John Newmann est surtout connu pour ses activités pastorales et éducatives. Lorsqu’il était Évêque de Philadelphie, il fonda le premier système scolaire diocésain catholique des États-Unis d’Amérique.
« Dieu aime encore le monde et m’envoie toi et moi, pour que nous soyons son amour et sa compassion pour les pauvres » : c'est ce que sainte Mère Teresa de Calcutta avait l'habitude de répéter à ceux qu'elle rencontrait pour les engager dans la charité envers les plus démunis. Elle était convaincue qu'en servant les plus pauvres des pauvres, il ne fallait pas être un simple travailleur social, mais un frère qui va à la recherche d'autres frères. En effet, sa charité était animée par la foi, et non par une simple philanthropie. Pour elle, il était urgent de sortir les gens de la misère, mais il était encore plus important de leur transmettre le message que Dieu est Amour et que cet amour se traduit par une attention pour leur situation. Sa pensée à cet égard était très claire : « Dieu s'est identifié à l'affamé, à l'infirme, à celui qui est nu, au sans-abri ; à la faim non seulement de pain, mais aussi d'amour, d'attention, de considération de la part de quelqu'un ; au manque non seulement de vêtements, mais aussi de cette compassion que seuls quelques-uns ressentent pour ceux qu'ils ne connaissent pas ; aux sans-abri, non seulement parce qu'ils ne possèdent pas d'abri de pierre, mais aussi parce qu'ils n'ont personne qu’ils puissent considérer comme proches ».
Nicolas de Myre, plus connu sous le nom de Nicolas de Bari, était un évêque né à Patara en Lycie (Turquie actuelle) vers 270. Il s’agit d’un saint commun à la plupart des Églises et des confessions chrétiennes, vénéré par l’Orient et l’Occident. Il est fêté le 6 décembre, jour de sa mort, et le 9 mai, en souvenir de la translation de ses reliques à Bari.
Dans la France du XVIIe siècle, l’école n’était plus en phase avec son temps. L’enseignement était fragmenté, éloigné de la réalité et des besoins d’une société en mutation. La culture restait réservée à une élite et l’enseignement primaire était encore basé sur la méthode individuelle. C’est alors qu’un jeune prêtre eut le courage de transformer l’école, en la faisant devenir un lieu de préparation à la vie, et non plus seulement un espace d’apprentissage de savoirs et de connaissances.
Élu à seulement 54 ans, Pie IX détient le record du plus long pontificat de l’histoire, qui est de 32 ans. Il dépasse les années de pontificat que la tradition attribue à saint Pierre.
Cofondateur de l’Ordre des Mercédaires, Maître général des Dominicains, mais surtout célèbre expert en droit canonique. Il s’agit de Raymond de Penyafort. Né entre 1175 et 1185 à Villafranca del Panadés (Espagne), Raymond étudia à la cathédrale de Barcelone, où il enseigna ensuite la rhétorique et la logique.
Deux jeunes mères : l’une âgée de 22 ans et allaitant un bébé, l’autre enceinte de huit mois. Toutes les deux étaient des catéchumènes emprisonnées à Carthage, sous l’empereur Septime Sévère, en 203. Elles s’appelaient Perpétue et Félicité. Elles différaient par leur milieu social : jeune patricienne pour l’une, servante pour l’autre, mais elles étaient unies par leur foi dans le Christ et par le martyre. Elles furent arrêtées avec Saturus, leur catéchiste, et d’autres catéchumènes : Saturninus, Revocatus et Secondulus.
La fête du Rosaire a été instituée par saint Pie V sous le nom de « Sainte Marie de la Victoire », en souvenir perpétuel de la bataille de Lépante, qui eut lieu précisément le 7 octobre 1571 et au cours de laquelle la flotte de la Sainte Ligue battit celle de l'Empire ottoman. Les chrétiens attribuèrent cette victoire à la protection de Marie, qu'ils avaient invoquée en récitant le Rosaire avant la bataille.
Joséphine Bakhita était une enfant heureuse issue d’une famille animiste assez aisée vivant à Olgossa, dans la région du Darfour, au Soudan. En 1878, à l’âge de neuf ans, elle fut enlevée par des marchands d’esclaves. Sa vie se transforma immédiatement en cauchemar. Le choc fut si grand qu’elle ne se souvint même plus de son nom et que ses ravisseurs l’appelèrent « Bakhita » par moquerie, ce qui signifie « celle qui a de la chance ».
Saint John of God’s name was Juan Ciudad. He was born in 1495 in Montemor-o-Novo, Portugal, where he spent his early years, before moving to Oropesa, Spain, when he was eight years old. He took part in two wars, one in Fuenterrabía in the Pyrenees and one in Vienna against the Turks. Following these events, he returned to Spain and embarked on a long spiritual journey that took him to various cities, including Seville, Ceuta, Gibraltar and Granada, where he worked as a book seller. After hearing a sermon by John of Avila, he underwent a profound spiritual transformation that led him to declare his “folly” for God, to the point that he was committed to the Royal Hospital of Granada. When he was discharged, he decided to dedicate himself entirely to serving the Lord.
Saint Jean de Dieu, qui s’appelait Juan Ciudad, naquit en 1495 à Montemor-o-Novo, au Portugal. Il passa les premières années de sa vie dans cette ville avant de déménager à Oropesa, en Espagne, à l’âge de 8 ans. Il participa à deux guerres, l’une à Fuenterrabía dans les Pyrénées et l’autre à Vienne contre les Turcs. Après ces événements, il retourna en Espagne et commença un long voyage de quête spirituelle qui le conduisit dans différentes villes, dont Séville, Ceuta, Gibraltar et enfin Grenade, où il travailla comme vendeur de livres. Après avoir écouté un sermon de Jean d’Avila, il subit une profonde transformation spirituelle qui l’amena à déclarer sa « folie » pour Dieu, à tel point qu’il fut enfermé à l’hôpital royal de Grenade. À sa sortie, il décida de se consacrer entièrement au service du Seigneur.
L'Église catholique et l'Église orthodoxe sont unies dans la célébration de la Nativité de Marie. Cette fête, qui naquit en Orient, a été introduite à Rome par le Pape Serge Ier au VIIe siècle. Ce jour-là, une procession partait de l'église Saint Hadrien, dans le Forum, pour se rendre à la basilique Sainte-Marie-Majeure. Selon le Calendrier liturgique, elle est commémorée le 8 septembre. En Orient, la nativité de Marie était déjà célébrée au IVe siècle et était liée à la construction de la basilique Sainte-Anne à Jérusalem. Ce lieu de culte se trouvait à l'emplacement de la maison où naquit Marie, dont les parents étaient Anne et Joachim. De Jérusalem, le souvenir de la Nativité de Marie est passé à Constantinople et l'Église d'Orient la célèbre en la rattachant à la Conception. Il ne faut pas oublier que l'Église ne célèbre la naissance sur terre et la naissance au Ciel que de Jésus, Marie et Jean Baptiste.
Médiateur et pacificateur dans les conflits entre les communes en lutte, saint André Corsini, religieux carme et Évêque de Fiesole, fut également emprisonné pour son zèle.
Issu d’une noble famille florentine, né à Florence le 30 novembre 1301, après une adolescence insouciante, il entra au Carmel à l’âge de 15 ans. Il se distingua par sa charité envers les pauvres et les indigents et, après son ordination sacerdotale, il fut envoyé terminer ses études à l’université de Paris.
Pagina 4 di 5