Two hours in the Vatican Gardens, in the green heart of Vatican City State, is a project promoted by Vatican Museums and aimed at parents with children. Launched on 13 July and lasting through 26 October, “Capture Nature” offers the first guided tour dedicated specifically to families, where they can spend two hours in the Vatican Gardens, immersed in nature and learning outdoors. The tours take place on Saturdays. The itinerary in nature is inspired by Pope Francis’ Encyclical Letter, Laudato Si’ and has the aim of raising awareness in adults and children on issues related to care for creation and protecting our Common Home.
Due ore nei Giardini, nel cuore verde dello Stato della Città del Vaticano. È l'iniziativa “Cattura la Natura” promossa dai Musei Vaticani rivolta a genitori e figli, che ha preso avvio, sabato 13 luglio, e si concluderà il 26 ottobre. Ogni sabato le famiglie possono approfittare del primo tour guidato dedicato appositamente a loro per trascorrere due ore nei Giardini Vaticani, all’insegna della natura e dell’apprendimento all’aperto. Il particolare percorso tra il verde è ispirato all’Enciclica Laudato sì' di Papa Francesco e vuole sensibilizzare adulti e bambini sui temi della tutela del creato e della salvaguardia della Casa comune.
A Korean presence in the Vatican Gardens to implore Mary for universal peace is the hope with which a mosaic of Our Lady of Peace Korean was blessed in the Vatican Gardens. The ceremony took place on Friday afternoon, 20 September, during the liturgical memorial of the Martyrs, Saint Andrew Kim Tae-gon, the first ordained priest of Korea, Saint Paul Chông Hasang and their companions.
“È un’opera che va ad incrementare il patrimonio artistico di questo incantevole spazio verde della Città del Vaticano, ricco di testimonianze storico-artistiche di varie epoche. Infatti, non solo i prati, i fiori, le piante, gli alberi, ma anche le torri, le casine, i tempietti, le fontane, le statue e le altre costruzioni fanno di questi Giardini un unicum affascinante”. Così Benedetto XVI, durante l’inaugurazione dell’ultima fontana realizzata nei Giardini Vaticani e intitolata a San Giuseppe, lunedì, 5 luglio 2010.
Planter une tulipe pour rappeler saint Jean-Paul II. C’est ce qui a eu lieu dans la matinée du mardi 22 octobre, dans les Jardins du Vatican, à l'occasion de la mémoire liturgique du Pape Wojtyła.
Jóvenes con discapacidad y sus profesores han trabajado juntos para crear un mosaico de gran valor artístico que representa a Cristo Pantocrátor. Esta obra, realizada en el taller de mosaicos del Centro de Rehabilitación Ada “Ceschin Pilone” del Instituto de los Padres Trinitarios de Venosa-Bernalda, se colocó el jueves por la mañana, 5 de diciembre, en los Jardines Vaticanos. La ceremonia estuvo presidida por el Cardenal Fernando Vérgez Alzaga, Presidente de la Gobernación del Estado de la Ciudad del Vaticano.
La Vierge d'Altagracia protège et accompagne le peuple de la République dominicaine depuis 1514. Dans le « Bastione Maestro » des Jardins du Vatican se trouve également une reproduction de l'image vénérée qui, selon la tradition, est apparue sur un oranger. Dans la matinée du mardi 23 juillet, pour commémorer cette apparition et renforcer les liens entre la Cité du Vatican et les fidèles de la nation caribéenne, le Cardinal Fernando Vérgez Alzaga, Président du Gouvernorat de l'État de la Cité du Vatican, et l'ambassadeur de la République dominicaine près le Saint-Siège, S.E. M. Luis Emilio Montalvo Arzeno, ont planté un oranger dans les jardins du Vatican. Parmi les personnes présentes se trouvait le Directeur de la Direction des infrastructures et des services, l'ingénieur Salvatore Farina.
La Vergine di Altagracia, dal 1514, protegge a accompagna il popolo della Repubblica Dominicana. Anche nel Bastione Maestro dei Giardini Vaticani è ospitata una riproduzione della venerata immagine che, secondo la tradizione, apparve su un albero di arancio. Per ricordare l’apparizione e rinsaldare i legami tra la Città del Vaticano e i fedeli della nazione caraibica, martedì mattina, 23 luglio, il Cardinale Fernando Vérgez Alzaga, presidente del Governatorato dello Stato della Città del Vaticano, insieme con l’Ambasciatore della Repubblica Dominicana presso la Santa Sede, Luis Emilio Montalvo Arzeno, hanno piantumato un albero di arancio nei Giardini Vaticani. Tra i presenti, il direttore della Direzione delle Infrastrutture e Servizi, ingegner Salvatore Farina.
Di seguito il discorso del Cardinale:
Stimati amici,
Saluto, innanzitutto, sua eccellenza l’Ambasciatore della Repubblica Dominicana presso la Santa Sede,
Luis Emilio Montalvo Arzeno,
il ministro consigliere Dolores Margarita Cedeño Pérez della stessa Ambasciata,
La Repubblica Dominicana, che è onorata di avere per sua protettrice la Vergine di Altagracia, ha voluto con questo gesto della piantumazione di un arancio nei Giardini Vaticani ricordare l’apparizione di Maria avvenuta nel XVI secolo proprio su un albero di arancio. Nostra Signora di Altagracia già è presente in un mosaico nel Bastione Maestro.
Sappiamo quanto la devozione dei fedeli alla Vergine di Altagracia sia profonda e affondi le sue radici nei secoli. Il popolo dominicano si è sempre stretto intorno a Maria durante le vicende storiche spesso travagliate.
Ricordo che Papa Francesco ha voluto esprimere la sua vicinanza al popolo dominicano offrendo alla vergine una rosa d’oro che è stata collocata ai piedi dell’immagine mariana dall’arcivescovo Edgar Peña Parra, quale Suo Inviato Speciale, il 15 agosto 2022, alle celebrazioni di chiusura del centenario della sua incoronazione.
Colgo l’occasione per ringraziare l’Ambasciatore che presto terminerà il suo servizio all’Ambasciata presso la Santa Sede, per il suo impegno e i suoi sforzi di consolidare le relazioni della Repubblica Dominicana e lo Stato della Città del Vaticano. Approfitto per salutarlo e per fargli giungere i miei più sentiti auguri per il nuovo impegno che lo attende.
Che la Vergine benedica i presenti e tutto il popolo domenicano.
La loro vita e il loro lavoro
Dal gennaio 2024, le monache benedettine dell'Abbazia di Santa Scolastica, in Argentina, rispondendo alla richiesta del Santo Padre, hanno ripreso il ministero della preghiera, dell’adorazione, della lode e della riparazione presso il Monastero Mater Ecclesiae, all'interno dei giardini vaticani, per sostenere, con la loro presenza orante, il Santo Padre nella sua quotidiana sollecitudine per tutta la Chiesa.
Une présence de la Corée dans les Jardins du Vatican pour implorer de Marie la paix universelle. Tel est le vœu avec lequel la mosaïque de Notre-Dame de la Paix coréenne a été bénie dans les Jardins du Vatican. La cérémonie s'est déroulée dans la matinée du vendredi 20 septembre, en la mémoire liturgique du martyr saint André Kim Tae-gon, premier prêtre de Corée, de Paolo Chông Hasang et de ses compagnons.
Leur vie et leur travail
Depuis janvier 2024, les moniales bénédictines de l'Abbaye de Sainte-Scholastique, en Argentine, répondant à la demande du Saint-Père, ont repris le ministère de la prière, de l'adoration, de la louange et de la réparation au Monastère Mater Ecclesiae, dans les jardins du Vatican, pour soutenir, par leur présence en prière, le Saint-Père dans sa sollicitude quotidienne pour toute l'Église.
La Communauté Mater Ecclesiae, bien que réduite numériquement, représente la communauté de l'Abbaye de Sainte-Scholastique à Victoria (Buenos Aires, Argentine, diocèse de San Isidro) et elle est soutenue par celle-ci.
Ora et labora...
Ora…
Les six moniales bénédictines qui vivent au monastère Mater Ecclesiae suivent les horaires et les habitudes de l'abbaye de Sainte-Scholastique, à laquelle elles restent unies par un vœu de stabilité.
Elles se lèvent à quatre heures et demie du matin et commencent à prier à cinq heures à l'église. C'est l'Office des Vigiles. Avant l'aube, elles se lèvent comme une Église vigilante dans l'attente du Christ qui, riche en pardon, vient appeler à lui l'amour de tous les hommes. Cette prière dure une heure. À 6h50, elles retournent à l'église pour chanter l'Office des Laudes, louange au Soleil qui se lève d'en haut, Jésus-Christ, qui illumine tout de sa présence. À la fin des Laudes, à 7h30, elles célèbrent l'Eucharistie, ouverte à la participation des fidèles. Il y a ensuite une heure de Lectio Divina, c'est-à-dire de prière personnelle avec la Parole de Dieu. À 9 heures, elles prient l’Heure Tierce, qui rappelle le mystère de la Pentecôte, en invoquant une nouvelle effusion de l'Esprit Saint, afin que par ses dons, il assiste et vivifie l'Église chaque jour. Le reste de la matinée, chacune d’elles exerce une activité : nettoyage, cuisine et confection de friandises pour la vente.
Après le travail, elles prient l’Heure Sexte à 12h30, rappelant le moment où le Christ élevé sur la Croix a racheté le monde entier. Elles offrent ainsi le travail et le labeur de tous les hommes. Vers 15 heures, elles prient l’Heure None : l'heure de la grâce, au cours de laquelle elles commémorent chaque jour la mort de Jésus-Christ qui, du haut de la Croix, offre son pardon et se donne au Père pour l'amour de l'humanité. Elles ont ensuite un temps de récréation communautaire, au cours duquel elles renforcent leurs liens fraternels dans la simplicité et la joie. L’après-midi, elles se remettent au travail jusqu’à l’heure des Vêpres, quand, après la journée de prière et de travail, le Christ les appelle pour remercier le Père des dons reçus, en particulier de l'Eucharistie, et pour lui demander de soutenir la foi et l'espérance de tous les fidèles. Après une autre heure de Lectio Divina, elles dînent et, avant le repos de la nuit, elles élèvent leur voix suppliante à l'Heure de Complies pour remettre leur repos et celui de tous les hommes entre les mains du Père.
Ainsi, au rythme de la prière, avec les psaumes sur les lèvres, elles prient en chantant et travaillent en priant, vivant dans l'amour, la joie et la louange, rappelant au monde qu'il existe des communautés de prière qui, en se donnant pour toujours au Christ, intercèdent en faveur de tous les hommes et de toutes les femmes, et rappellent à Dieu, jour et nuit, à temps et à contretemps, que l'homme d'aujourd’hui le cherche sans le savoir, l’aime et a besoin de lui.
Et labora...
Saint Benoît dit que « les moines sont vraiment des moines s’ils vivent du travail de leurs mains ». Ainsi, comme en Argentine, la communauté Mater Ecclesiae dispose d’un atelier de pâtisserie, installé grâce à la bienveillance du Gouvernorat. C’est là que les sœurs passent la plus grande partie de leur temps de travail à fabriquer divers produits de confiserie. Parmi ces produits, on peut citer :
- biscuits au citron
- biscuits au chocolat et à la menthe
- biscuits au chocolat et aux noix
- alfajores au chocolat et à la pistache (deux biscuits fourrés)
- alfajores au citron
- alfajores au Dulce de leche et à la noix de coco
- Polvorones (biscuits friables)
- Écorces d'orange caramélisées trempées dans le chocolat
- Beignets au chocolat
- Gâteau gallois
- Gâteau anglais
- Gâteau aux fruits secs
Même si elles viennent de commencer leur production, elles espèrent que les gens goûteront leurs produits et les apprécieront… C’est un travail d’équipe, tout le monde collabore, aussi bien pour la production du produit que pour son emballage. La seule chose qui les distingue d’autres produits du marché très bons et variés est qu’elles essaient de les fabriquer avec les meilleures matières premières, mais surtout dans une atmosphère de silence et de prière, en priant avant tout pour tous ceux qui les mangeront. Certainement avec l'espoir qu’ils les apprécient pour leur goût, mais surtout avec l'espoir que la paix et la grâce du Seigneur atteignent leurs âmes… À l'approche d’un nouvel Avent et d’une année spéciale de grâce jubilaire, les sœurs préparent déjà des biscuits spéciaux pour Noël…
Considérant cet appel particulier du Saint-Père comme une grâce et un signe de prédilection, elles rassemblent dans leurs prières toutes les préoccupations et tous les désirs du Pape François, en particulier en ce moment son appel inlassable à la paix, ainsi que sa demande de prier pour l'Année Sainte à venir.
Désireuses d’être fidèles à cette mission, elles demandent à tous de prier pour elles.
Les moniales bénédictines
Una presenza della Corea nei Giardini Vaticani per implorare da Maria la pace universale. È l’auspicio con cui è stato benedetto il mosaico di Nostra Signora coreana della pace al Bastione Maestro nei Giardini Vaticani. La cerimonia si è svolta, venerdì pomeriggio, 20 settembre, nella memoria liturgica dei martiri Sant’Andrea Kim Tae-gon, primo sacerdote della Corea, Paolo Chông Hasang e compagni.
Ragazzi disabili e insegnanti insieme per realizzare un mosaico di grande pregio, raffigurante il Cristo Pantocrator. Nasce da questa collaborazione - nel laboratorio del mosaico del Centro di Riabilitazione Ada “Ceschin Pilone” dell’Istituto dei Padri Trinitari di Venosa-Bernalda - la nuova opera d’arte collocata, giovedì mattina, 5 dicembre, nei Giardini Vaticani. A presiedere la cerimonia, il Cardinale Fernando Vérgez Alzaga, Presidente del Governatorato dello Stato della Città del Vaticano.
Piantare un tulipano per ricordare San Giovanni Paolo II. È quanto avvenuto, nei Giardini Vaticani, martedì mattina, 22 ottobre, nel giorno della memoria liturgica di Papa Wojtyła.
La Virgen de la Altagracia acompaña al pueblo de la República Dominicana desde 1514. El Bastione Maestro de los Jardines Vaticanos alberga una reproducción de la venerada imagen que, según la tradición, apareció en un naranjo. Para conmemorar la aparición y estrechar los lazos entre la Ciudad del Vaticano y los fieles de la nación caribeña, en la mañana del martes 23 de julio, el Cardenal Fernando Vérgez Alzaga, Presidente del Governatorato del Estado de la Ciudad del Vaticano, junto con el Embajador de la República Dominicana ante la Santa Sede, Luis Emilio Montalvo Arzeno, plantaron un naranjo en los Jardines Vaticanos. Entre los presentes se encontraba el Director de la Dirección de Infraestructuras y Servicios, el ingeniero Salvatore Farina.
Our Lady of Altagracia has been protecting and accompanying the people of the Dominican Republic since 1514. A replica of the venerated image can also be found in the Vatican Garden’s Bastione Maestro. According to tradition, the image appeared on an orange tree. In memory of the Apparition and in an effort to strengthen the bond between Vatican City State and the faithful of the Caribbean nation, on Tuesday morning, 23 July, Cardinal Fernando Vérgez Alzaga, President of the Governorate of Vatican City State and Luis Emilio Montalvo Arzeno, Ambassador of the Dominican Republic to the Holy See, planted an orange tree in the Vatican Gardens. Salvatore Farina, Director of the Directorate for Infrastructures and Services, was also present at the tree planting event.
Maggio, il mese tradizionalmente dedicato a Maria Vergine, quest’anno è stato festeggiato con la benedizione di due opere dedicate alla Madonna che arricchiscono il percorso mariano che si è creato nel corso degli anni nei Giardini Vaticani.
Il 10 maggio scorso, con una breve ma assai sentita e commovente cerimonia, è stata benedetta una statua dedicata alla Vergine Mater Ecclesiae, dono degli Stati Uniti d’America in occasione del 35° anniversario delle relazioni diplomatiche tra la Santa Sede e gli Stati Uniti. Il monumento, alto circa 2 metri e realizzato in bianco marmo di Carrara, è stato collocato sul lato sud del Giardino delle Rose. Maria incoronata sorregge sulla destra Gesù Bambino benedicente, anch’esso con la corona, proiettato verso l’osservatore.
La celebrazione si è svolta alla presenza di Sua Em.za il Sig. Cardinale Giuseppe Bertello, Sua Em.za il Sig. Cardinale Kevin Joseph Farrell, Sua Em.za il Sig. Cardinale Donald William Wuerl, don Rafael García de la Serrana Villalobos, e Sua Ecc.za la Signora Callista Gingrich, Ambasciatore degli Stati Uniti d’America presso la Santa Sede.
La cerimonia è stata resa ancora più suggestiva e coinvolgente grazie alla presenza del Coro della Basilica del Santuario Nazionale dell’Immacolata Concezione di Washington accompagnato dal suo Rettore Mons. Walter R. Rossi,
Un piovoso 15 maggio, nella piacevole cornice del Giardino Quadrato, ha visto l’inaugurazione di un mosaico dedicato a Nostra Signora della Presentazione di El Quinche, patrona della Repubblica dell’Ecuador, realizzato con il patrocinio della Conferenza Episcopale Ecuadoriana.
La Vergine di El Quinche, secondo l’iconografia tradizionale, è rappresentata mentre sorregge con la sinistra il Bambino benedicente con il globo crucifero. Con il suo abito bianco arricchito da decorazioni di arte precolombiana, la figura di Maria si staglia su uno sfondo naturalistico che ripropone la vegetazione delle diverse regioni dell’Ecuador e il volo di nove piccoli colibrì.
L’opera, pensata dalla giovane artista Doménica Barahona, è stata realizzata con tecniche miste: mosaico a intarsio, mosaico tradizionale e fusione in bronzo.
Alla cerimonia erano presenti, come di consueto, le Autorità ecclesiastiche del Governatorato, P. Gilberto Freire, Rettore del Pio Collegio Latinoamericano, Sua Ecc.za il Signor José Luis Alvarez Palacio, Ambasciatore della Repubblica dell’Ecuador presso la Santa Sede, e numerosi rappresentanti del Corpo Diplomatico.
Dopo la benedizione dell’immagine, impartita dal Rev.do P. Freire, la cerimonia è continuata con alcuni brani cantati dal tenore Pietro Giacometti.
Trent’anni fa, il 9 novembre 1989, cadeva il muro di Berlino, uno dei simboli della guerra fredda e della “divisione ideologica dell'Europa e del mondo intero”.
Forse non è così noto che un frammento del Muro venne donato a Giovanni Paolo II in riconoscimento al suo ruolo morale nell’abbattimento di quella cortina di ferro “scesa attraverso il continente” a dividere l’Europa.
Oggi questa porzione di cemento rimanda fortemente alle parole di Papa Francesco che, sempre più frequentemente e sempre con maggior passione, esorta ad abbattere i muri per costruire quei ponti che diffondono “la cultura dell’incontro”,che consentono di “diminuire le diseguaglianze e che accrescono la libertà e i diritti”.
Il pezzo di Muro, alto 3,8 mt, largo1,2 e del peso di 2600 kg, venne messo all’asta nel 1990 nel Principato di Monaco e fu acquistato da un imprenditore italiano, Marco Piccinini. Questi acquisì un blocco con il disegno di una chiesa in virtù del suo riferimento religioso e decise di farne dono al Papa.
Il frammento faceva parte del tratto di Muro che attraversava Waldemarstraße nel quartiere Kreuzberg-Mitte e vi è raffigurata, oltre ad alcuni graffiti, la facciata della chiesa di San Michele che si trovava proprio lì. A seguito della costruzione del Muro il quartiere si trovò spaccato in due e anche la comunità cattolica che lì viveva fu divisa: la chiesa della comunità si trovò a Berlino est mentre la maggior parte dei fedeli risiedeva a Berlino ovest.
Nel 1986 l’architetto berlinese Bernhard Strecker chiese a Yadegar Asisi, artista austriaco di origine iraniana, di dipingere l’immagine della chiesa affinché dall’ovest si potesse avere ancora l’idea di vederne la facciata e si avesse l’illusione di potervi entrare: si trattava quasi di dimostrare la "permeabilità visiva" del Muro (Mauerdurchblick), vale a dire un effetto ricorrente sui lati della cortina teso a rappresentare la città “separata”.
Dallo studio documentale si è appreso che l’opera fu donata al Pontefice nel 1990 ma venne collocata nei Giardini Vaticani, nella sua attuale posizione, ed inaugurata nell’agosto del 1994. Il segmento del Muro è stato posto significativamente in un’area verde lungo il viale di San Benedetto, Patrono d’Europa; lì accanto è stata posta una lapide di marmo con le parole che il Papa pronunciò nel discorso inaugurale del suo pontificato il 9 novembre 1978 “Non abbiate paura! Aprite le porte, anzi spalancate le porte a Cristo! Aprite i confini degli Stati, i sistemi economici come quelli politici. Non abbiate paura!” in basso è indicato il nome del donatore Marco Piccinini.
La porzione di Muro, oggi a tutti gli effetti un piccolo monumento, è stata restaurata nel 2017 grazie ad un ampio progetto di lavoro coordinato dalla Direzione delle Infrastrutture e Servizi e dalla Direzione dei Musei e dei Beni Culturali del Governatorato dello Stato della Città del Vaticano.
Nei Giardini vaticani sperimentato con efficacia un rimedio biologico contro la cocciniglia “tartaruga”.
La cocciniglia “tartaruga”, che sta devastando gli alberi di pino del Vaticano, di Roma e di molte altre città del Sud Italia, ha le ore contate. È stato provato che alcuni principi attivi — in particolare quelli contenuti nell’olio di Neem, un potente antibatterico e antiparassitario — iniettati nella pianta riescono a distruggere l’insetto. Si tratta di un metodo biologico, che può essere attuato nel pieno rispetto dell’ambiente. I primi incoraggianti esperimenti per eliminare il parassita si inseriscono in un progetto, avviato nel settembre 2017 dal Servizio giardini (ora Giardini e ambiente) del Governatorato dello Stato della Città del Vaticano. In risposta alle sollecitazioni della Laudato si’ , si è intrapreso un percorso di graduale eliminazione dei prodotti di sintesi impiegati per la difesa e la fertilizzazione delle piante e dei prati, sostituiti con prodotti naturali biologici e tecniche di coltivazione a basso impatto ambientale. Ne abbiamo parlato con il responsabile Rafael Tornini, che in questa intervista a «L’Osservatore Romano» annuncia il conseguimento di ottimi risultati.
Qual è l’obiettivo fondamentale dell’iniziativa avviata tre anni fa?
Sin dall’origine con il Progetto Giardini bio abbiamo mirato alla completa gestione in biologico entro il 2022. Lo scopo è stato oggi quasi completamente raggiunto in Vaticano. Infatti, il contenimento dei parassiti avviene in pratica integralmente con fitofarmaci naturali e le concimazioni sono eseguite esclusivamente con fertilizzanti certificati bio, di origine naturale. Le pratiche di diserbo con prodotti chimici, alcuni dei quali ad alto impatto sull’ambiente, sono state del tutto eliminate, praticando il controllo delle erbe infestanti esclusivamente con mezzi meccanici e prodotti naturali quali l’acido pelargonico.
Come è stato possibile un anticipo di due anni sulla tabella di marcia?
Il percorso fatto in questi anni è stato caratterizzato da non poche difficoltà, in quanto si sono rese necessarie continue prove sperimentali sulle numerosissime essenze erbacee, arboree e arbustive presenti nei giardini. Occorreva farlo per valutare l’efficacia dei prodotti naturali in commercio sugli innumerevoli parassiti che colpiscono le piante, alcuni dei quali di recente introduzione da Paesi esteri in Italia e, quindi, anche nel territorio dello Stato della Città del Vaticano. Tra questi va annoverato l’insetto di cui di recente si sta molto parlando, la Toumeyella parvicornis o cocciniglia “tartaruga”, che sta letteralmente infestando i pini di Roma, come di altre città del centro-sud Italia, con danni incalcolabili per il paesaggio.
Quale particolarità di infestazione ha questo parassita?
Si tratta di un insetto che si insedia sui rami e presenta una capacità riproduttiva veramente impressionante. Nel periodo primaverile-estivo, in considerazione della sua particolare alimentazione, si nutre della linfa di giovani rami posti all’apice dei pini, emettendo un liquido zuccherino chiamato “melata fisiologica”. In alcuni casi, cade a pioggia dalla chioma, imbrattando ogni cosa che si trova al disotto di essa. La melata, inoltre, tende a distribuirsi sugli aghi, divenendo sito di sviluppo di un fungo di colore nerastro, la Fumaggine, che provoca una riduzione della fotosintesi clorofilliana, determinando l’essiccazione degli aghi e il deperimento della pianta, fino a causarne la morte nel giro di due o tre anni.
Quanto è diffusa questa parassitosi?
Dalla primavera 2019 la Toumeyella parvicornis è comparsa praticamente su tutti il pini dei Giardini vaticani e, grazie alla possibilità di effettuare trattamenti alla chioma con saponi di potassio, olio paraffinico e olio di Neem, prodotti di origine naturale non inquinanti e innocui per l’uomo e gli animali, riconosciuti anche dalla vigente normativa italiana sui fitofarmaci, si è riusciti a contenerne lo sviluppo ed evitare danni consistenti alle piante, senza però ottenere un abbattimento sostanziale della popolazione dell’insetto. In ragione di ciò, con lo scopo di trovare una soluzione alla problematica, a partire dal giugno scorso il Servizio Giardini e ambiente ha avviato una sperimentazione su circa 150 pini, impiegando tre principi attivi diversi iniettati nelle piante per endoterapia. Oltre a questo, per inibire l’effetto di stress subito dalla pianta per difendersi, procediamo alla fertilizzazione effettuata a livello radicale con l’aggiunta di micorrize tramite palo iniettore. Questo progetto viene svolto dal consulente agronomo Annibale Gozzi, con la collaborazione del collega Stefano Gregoretti della società Lamas e il supporto della squadra di interventi fitosanitari composta da personale interno e coordinata da Augusto Minosse.
Con quali risultati?
I risultati ottenuti sono ottimi. Si è sperimentata l’efficacia di tutti e tre i principi attivi e, in particolare, dell’Abamectina che ha mostrato una maggiore attività di contenimento del parassita. Osservando un campione di 126 adulti si è ottenuto un risultato del 95,24 per cento di efficacia per morte di questo tipo di cocciniglia. Una particolare menzione merita l’Azadiractina, principio attivo dell’olio di Neem, noto insetticida e acaricida naturale, con il quale è stato conseguito un risultato dell’80 per cento circa di efficacia per morte. Ovviamente sarà prioritario continuare a valutare tale efficacia in quanto principio attivo biologico e in linea con il progetto in corso, in parallelo con l’Abamectina. Si tratta di una sostanza attiva della quale saranno testate la persistenza nelle piante di pino e, soprattutto, la sua sostenibilità in termini di tutela degli organismi utili e dei pronubi, cioè degli insetti che trasportano il polline da un fiore all’altro.
Fonte: L’Osservatore Romano, n.257 del 7 novembre 2020 - di Nicola Gori
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